









Oui c'est bien de moi même qu il s 'agit
si t as perdu le fil des événements ne compte pas sur moi pour te le récupère t as qu a revenir en arrière d ailleurs le liens en bas est fait pour ton genre
mais là, je comprend bien pourquoi les gens m'évitent à chaque coin de la rue, avec mes traits tirés, les yeux rouges gonflés et la sueur mêlé à de la poussière qui couvre ma gueule quand à mes vêtements, c'est une autre histoire, j'étais semblable à l'éléphant qui vient de prendre son bain de l'après midi, avec de l'eau, j'ai essayé de me redonner une nature humaine, lavé, tant bien que mal. Je rejoignit la signora à la pièce indiquée et qui n'est d'autre qu'une vaste cuisine bien éclairée par une porte vitré qui donne au jardin. Au centre se dressait une grande table, le gaz brûlait dans le réchaud, ça sentait le café frais, sentant ma présence elle s'est retournée et m'a invité à m'asseoir, c'est ce que j'ai fais. Sur la table a déposé des petits pains, un énorme sandwich dans une assiette, il paraît doré et croustillant.
Elle avait éteint le gaz alla à l'armoire et reviens avec deux tasses
-- du café ?
-- volontiers madame
elle versa le café fumant dans les tasses
-- vous mangerai bien un morceau ?
elle m a désigne l énorme sandwich
-- non merci
elle eut un nouveau rire plus bref, rougit un peu
-- je sais que je ne devrais pas manger, mais c est plus fort que moi
elle mordit dans le pain ,au début à grande bouche comme une personne affame, et petit à petit plus lentement , en me jetant parfois un petit coup d œil intrigue
-- j vois que vous étés encore sous le choc , vous n avez pas à avoir peur de charales , il aboie mais ne more pas ,il se prend pour le fiance de la princesse , il voit dans toute étranger alors il le provoque en duel
-- voilà dit elle , après avoir avale le dernier morceau, je me sens mieux .moi pendant ce temps je sirotais en savourant l excellent café regrettant de ne pas avoir accepte les succulent croissant croissants dont seul les français ont le secret
-- alors vous venez de loin je crois ? me demanda t elle
-- du Maghreb señora
-- appelez moi maria ; et ça se trouve ou ce bled ?
-- en Afrique ah ! l Afrique, elle eut un hochement d épaule en murmurant
-- alors toi au moins tu pote quelque chose sur toi
-- pardon ! dis je
-- ma que vous passez tout votre vie a vous balader nus et a saute comme des singe c est c est pas évident que vous deviendriez noir bande de sauvage
je laissais choir la tasse de café que je saisissait
-- mais enfin de qui parlez vous ?
-- de vous évidemment et comme si ça ne vous suffit pas vous vous amusez a dévorer les pauvres touristes qui viennent juste prendre des photos avec les lions
tu comprend toi quelque chose à cette salade ?
-- je vous assure que vous vous trompez maria
-- me tromper , ça c est la meilleur, et que st ce que tu dites de ce que m a raconte
Paula
-- qui c est ?
-- ma cousine , ma que , figure toi qu' elle est allé la bas l année dernière ,eh ben elle
elle a confirme tout ce que j viens de dire
-- elle vous a raconte tout cela après son retour
-- évidement, puisque je vous le dit
-- alors vous voyez bien qu' on l a pas dévore
-- le contraire m aurais étonne, dit elle avec un regard malicieux
-- ah bon ; et pourquoi ?



